Tel un « faux » soliste, une clarinette ouvre ce concerto avec un thème très expressif.
Une deuxième clarinette fait son apparition.
Tout l’orchestre s’élance dans une grande montée dynamique rythmée par les timbales.
Et soudain, le piano surgit, tel un félin ! Violent, turbulent, percussif.
Un des concertos les plus virtuoses, rapide et terriblement difficile à jouer.
Avec ce concerto, Prokofiev revient à une forme plus classique : une introduction suivie de deux thèmes, l’un en majeur, l’autre en mineur.
Prokofiev me fait virevolter !
Et sinon très bien joué. Bravo !
1 juinMais c'est la pièce de ma vie en fait ! Mes parents me la faisaient écouter quand j'était petit.
1 juin